Bâche de camouflage : un matériel aux multiples facettes
Le filet de camouflage est un équipement militaire facile à reconnaître. Imitant parfaitement la végétation, il permet aux utilisateurs de se fondre dans le paysage où ils se trouvent pendant leurs activités en extérieur.
Filet de camouflage : le matériel militaire résistant
Ce filet spécialement conçu pour le camouflage est fabriqué avec une matière première imperméable, légère et résistante. Il se décline en plusieurs dimensions en fonction de son usage. C’est un matériel qui ne craint ni les salissures, ni les variations climatiques. Pour le renforcer, il peut recevoir plusieurs traitements avant sa commercialisation : ignifuge, anti-UV, etc. Les utilisateurs ont le choix entre plusieurs couleurs : filet de camouflage blanc, vert armée, sable, gris, bleu, etc.
Principaux usages du filet spécial camouflage
Chez les militaires, le filet est avant tout un élément de protection. Ils se servent de ce matériel de camouflage pour devenir invisibles en environnement hostile. Son étanchéité est fort utile aux soldats lors des intempéries, des tempêtes de sable et de neige. C’est aussi un bon abri pour les équipements et le matériel lors d’un bivouac.
Les particuliers utilisent les filets de camouflage de deux manières différentes. Les passionnés de loisirs en plein air s’en servent pour les mêmes raisons que les forces armées. Pendant une partie de chasse par exemple, les tireurs se dissimulent à l’intérieur pour ne pas alerter leurs proies. Pendant une partie d’airsoft, les joueurs les utilisent pour ne faire qu’un avec la nature. Sur un bivouac, le filet dissuade les animaux sauvages de s’approcher du campement.
Cet élément de camouflage est aussi une bonne idée de déco pour la maison. A l’extérieur, le filet peut être suspendu au-dessus d’une terrasse. Cette pratique se répand de plus en plus auprès des restaurateurs et des campeurs. A l’intérieur, il peut faire office de housse pour les meubles, de rideau ou tout simplement être accroché au mur de la salle de séjour.
De Jean Duboc